- Article 0
- Certains services informatiques (dont les sites de la DG, du COF, du BDS)
proposés aux élèves (au sens de l’article 3 du Réglement Intérieur) sont
administrés par des élèves ou anciens élèves. Ces derniers ont par conséquent
accès à des informations confidentielles stockées sur cette infrastructure, pour
des raisons techniques et inévitables. Il est à noter que d’autres personnes,
par exemple certains membres du SPI, ont également techniquement accès
à l’infrastructure et aux informations confidentielles en question.
- Article 1
- Un·e sysadmin est une personne s’étant vu donner les accès administrateurs
sur un serveur ou une partie de l’infrastructure informatique des élèves par
l’article 2 de la présente annexe. En particulier, un·e membre du SPI n’est
pas sysadmin au sens de cette annexe.
- Article 2
- La DG nomme les sysadmins sur proposition de l’équipe actuelle des sysadmins, ou de sa propre initiative en l’absence d’une équipe en fonction. Les
sysadmins doivent être ou avoir été des élèves en scolarité au sens de l’article
3 du Règlement Intérieur de la DG. Les sysadmins retirent leurs accès aux
sysadmins sortants dès leur départ de l’équipe.
- Article 3
- L’équipe des sysadmins doit rendre compte de son activité à la DG au moins
une fois par an lors d’une réunion au changement de mandat DG.
- Article 4
- La liste des sysadmins en fonction est publiée et tenue à jour par la DG. En
particulier, elle est vérifiée et validée au moins une fois par mandat DG.
- Article 5
- Un·e sysadmin peut être destitué·e sur accord de l’ensemble des autres sysadmins et de la DG. En cas de désaccord, la DG ou la majorité des sysadmins
peuvent unilatéralement suspendre temporairement un·e sysadmin. Une AG
doit alors être convoquée sous un mois, hors vacances de l’école, pour voter
la destitution.
- Article 6
- Les sysadmins se doivent de ne consulter des informations confidentielles
présentes sur l’infrastructure informatique qu’avec le consentement explicite,
libre et informé de la ou des personnes concernées par ces données, ou de
personnes pouvant légitimement accéder à ces données. Les sysadmins ont
un devoir de confidentialité vis-à-vis des informations qu’ils ou elles sont
amené·e·s à consulter. Un manquement à ce devoir de confidentialité constitue un motif suffisant de destitution.